- Le Royaume-Uni déploie le vaccin AstraZeneca-Oxford
- Deuxième tour des élections sénatoriales en Géorgie
- Les indices américains s'effondrent, les indices européens terminent la séance en légère hausse
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Rejoignez XTB Téléchargez notre application mobile Téléchargez notre application mobileLe marché boursier européen a commencé sa première session de l'année en hausse, mais l'élan s'est essoufflé dans l'après-midi, les opérateurs s'inquiétant de l'impact des nouvelles mesures restrictives sur l'économie de l'UE. L'Allemagne a prolongé son confinement jusqu'au 31 janvier, tandis que l'Écosse a introduit un confinement national similaire à celui du mois de mars. Le Premier ministre britannique Boris Johnson a averti qu'il pourrait devoir imposer des restrictions plus strictes à mesure que les cas de Covid-19 se multiplient. Au début de la session, le sentiment a été renforcé par la nouvelle selon laquelle la Grande-Bretagne est devenue le premier pays à déployer le vaccin Covid-19 développé par AstraZeneca (AZN.UK) et l'université d'Oxford, une alternative moins coûteuse et plus facile à stocker que le vaccin développé par Pfizer (PFE.US) et BioNTech(BNTX.US), qui est déjà utilisé. Par ailleurs, les enquêtes PMI ont montré que le secteur manufacturier de la zone euro a connu en décembre sa plus forte croissance depuis mai 2018. Le DAX 30 a terminé la séance d'aujourd'hui près de l'équilibre à 13 727, le CAC a augmenté de 0,7 % et le FTSE100 a gagné 1,8 %.
Le Dow Jones et le S&P 500 ont lancé la séance d'aujourd'hui à des niveaux records, mais la baisse a rapidement pris le dessus et les trois principaux indices se négocient à plus de 2 % de repli, les actions de Coca-Cola et de Boeing comptent parmi les moins performantes. L'action Tesla a bondi de 4 % après que la société ait annoncé des livraisons de décembre meilleures que prévu. La politique a pesé sur le sentiment du marché, car la perspective du second tour des élections pour les deux sièges du Sénat géorgien pourrait faire basculer le contrôle de la chambre haute aux mains des démocrates et introduire un programme de politique fiscale plus radical de la part de la nouvelle administration. Le président Donald Trump a fait pression sur le secrétaire d'État géorgien Brad Raffensberger pour qu'il annule la victoire du président élu Joe Biden dans l'État en cherchant des voix pour faire pencher le compte en sa faveur, selon un enregistrement audio obtenu par NBC News. Pendant ce temps, le nombre de cas de Covid-19 dans le monde a dépassé 85 millions, dont plus de 20,6 millions aux États-Unis. La flambée pourrait s'intensifier alors que le Colorado, la Californie et la Floride ont identifié des cas de la variante hautement transmissible de Covid-19 qui est apparue au Royaume-Uni. Les États-Unis ont administré plus de 4,2 millions de doses de vaccin jusqu'à présent et le rythme s'accélère, selon le Dr Fauci. Sur le front des données, l'indice PMI manfucaturier aux Etats-Unis a été révisé à la hausse, passant de 56,5 en décembre à 57,1 en novembre. Ces données indiquent la plus forte croissance de l'activité industrielle depuis septembre 2014.
Les contrats à terme sur le brut américain sont en baisse de 1,8 % à 47,63 dollars le baril, tandis que le contrat sur le Brent a chuté de 1,3 % à 51,09 dollars, les opérateurs attendant les résultats de la réunion de l'OPEP+. Sinon, les contrats à terme sur l'or ont augmenté de 2,0 % à 1 937,50 $/oz, tandis que l'argent se négocie à 2,50 % de hausse, à près de 27,04 $/oz. Le bitcoin a fortement chuté aujourd'hui, après avoir atteint un record de 34 800 $ dimanche, les opérateur faisant état de la volatilité des marchés à terme à fort effet de levier.
Le cours de l'argent teste une résistance majeure à 27,50 $/oz. Si les vendeurs parviennent à percer à la hausse, une autre impulsion haussière vers la prochaine résistance à 29,00 $/oz pourrait être lancée. Source : xStation5
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