Oil
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Le WTI a atteint 85 dollars le baril en début de semaine pour la première fois depuis fin 2014.
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Goldman Sachs s'attend à ce que la demande de pétrole dépasse les 100 millions de barils par jour et que le passage du gaz naturel au pétrole contribue pour au moins 1 million de barils à la demande quotidienne supplémentaire.
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Saudi Aramco a prévenu que les réserves mondiales de pétrole diminuaient rapidement et que les entreprises devaient augmenter leurs investissements dans de nouveaux projets.
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L'impact du coup d'État au Soudan sur la production totale de pétrole de l'OPEP+ devrait être limité. Le Soudan est membre du vaste groupe OPEP+.
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Le vice-premier ministre russe, M. Novak, a déclaré qu'il souhaitait que l'OPEP+ s'en tienne à sa politique actuelle d'augmentation de la production quotidienne de 400 000 barils par mois.
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L'Arabie saoudite a déclaré que l'OPEP+ doit être prudente lorsqu'elle augmente l'offre, afin de ne pas inonder le monde de pétrole alors que le risque de ralentissement économique demeure.
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Les stocks de pétrole à Cushing, en Oklahoma - le plus grand centre de stockage de pétrole des États-Unis - ont chuté à leur plus bas niveau depuis fin octobre 2018.
Les stocks de pétrole sont restés stables la semaine dernière et sont assis près de leur plus bas niveau en 5 ans pour la période actuelle. Saudi Aramco prévient que le manque de nouveaux projets d'investissement au cours des années précédentes a conduit à une situation d'approvisionnement très serrée, les capacités supplémentaires étant très limitées. Source : Bloomberg
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Le WTI (OIL.WTI) se retire d'un sommet de 7 ans atteint plus tôt cette semaine près de 85,00 $. Il convient de noter que les géométries du marché ont été respectées par les prix tout au long du mouvement haussier en cours depuis deux mois. Cela dit, le support clé à court terme à surveiller se situe aux alentours de 82,25 $. Une cassure en dessous de cette zone rendrait les perspectives techniques à court terme plus baissières. Source : xStation5
Natural Gas
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Les prix du gaz naturel ont repris leur mouvement ascendant après une brève correction. NATGAS a bondi de plus de 20 % au cours de la semaine dernière et est repassé au-dessus de la barre des 6,00.
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Selon les données de TSO, les flux nets de gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine et la Pologne sont tombés à leur plus bas niveau depuis janvier 2020.
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La situation en Norvège, où des travaux de maintenance et des problèmes techniques ont réduit la production de certains champs gaziers, est un autre facteur qui contribue au resserrement de l'approvisionnement en gaz en Europe.
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Wintershall, le plus grand producteur de gaz naturel en Allemagne, s'attend à ce que les prix restent élevés tout au long de la session d'hiver.
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Selon Bloomberg, il est désormais plus rentable pour les États-Unis d'exporter du gaz naturel vers l'Asie que vers l'Europe, ce qui rend la situation sur le Vieux Continent encore plus préoccupante.
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Des températures inférieures à la moyenne sont attendues au Royaume-Uni et en Europe occidentale dans les prochains jours, ce qui pourrait entraîner une augmentation de la demande de gaz naturel.
Les flux de gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine et la Pologne sont tombés à leur niveau le plus bas depuis le début des années 2020. Combinée aux pannes sur les champs gaziers norvégiens, cette situation vient s'ajouter à une offre déjà restreinte. Source : Bloomberg
NATGAS a commencé à regagner du terrain après une correction ABC. La situation de l'offre est tendue et devrait le rester cet hiver. Bien qu'un repli puisse être observé à l'heure actuelle, le risque d'une nouvelle hausse des prix reste élevé. Si le déclin s'accentue, la réaction à la zone de support de 5,57-5,65 sera essentielle. Source : xStation5
Silver
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L'argent a surpassé les autres métaux précieux récemment, atteignant son plus haut niveau depuis début septembre à la fin de la semaine dernière. L'or a également progressé, tandis que le platine et le palladium sont restés à la traîne.
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Ce mouvement s'est accompagné d'un affaiblissement du dollar américain et, avec la légère reprise du dollar cette semaine, l'or et l'argent ont rendu une partie de leurs gains.
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Les ETF ont été vendeurs nets d'or jusqu'à présent cette semaine, tandis que les avoirs en palladium ont augmenté. Les avoirs en argent et en platine ont peu changé.
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Les prix des métaux précieux ont été soutenus après que J. Yellen, secrétaire au Trésor américain, a déclaré que l'inflation élevée pourrait durer jusqu'en 2022. Le président de la Fed, J. Powell, a également évoqué la possibilité d'une inflation élevée pendant plus longtemps.
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La Banque centrale européenne devrait maintenir le statu quo ce jeudi. Toutefois, des éclaircissements pourraient être apportés sur les perspectives de la politique monétaire future.
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UBS estime qu'une remontée attendue des taux réels, grâce au début de la réduction de l'assouplissement quantitatif de la Fed, pourrait faire retomber le prix de l'argent sous les 20 dollars l'once.
Les ETF ont continué à vendre de l'or et à acheter du palladium. Les avoirs en argent et en platine ont peu changé jusqu'à présent cette semaine. Source : Bloomberg
La semaine dernière, l'argent a dépassé la limite supérieure de son canal ascendant, mais n'a pas réussi à maintenir ce mouvement. Le prix s'est replié dans la zone du canal après l'échec du test des sommets de début septembre dans la zone des 24,70 $. La limite inférieure de la structure overbalance, et un support clé à court terme, se trouve à 23,97 $. La réunion de la BCE cette semaine et, plus important encore, la réunion de la Fed la semaine prochaine sont des événements clés à court terme pour les métaux précieux. Source : xStation5
Wheat
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Le blé se négocie près des sommets de 2021, à 765,00 $ le boisseau.
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La hausse du marché du blé a repris après l'annonce de mauvaises conditions météorologiques affectant les cultures. En Europe, le temps sec devrait entraver les récoltes en Ukraine et en Russie.
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Outre les conditions météorologiques défavorables, les perspectives de récolte de blé pour la prochaine saison sont également remises en question en raison des prix élevés et croissants des engrais.
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Le rapport de l'USDA indique que 46 % de la récolte de blé d'hiver aux États-Unis est en bon ou excellent état, ce qui est très peu par rapport aux 54 % attendus.
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Selon l'USDA, les stocks mondiaux de blé devraient tomber à leur plus bas niveau depuis 5 ans cette année.
Le blé (WHEAT) a grimpé et a une fois de plus testé la zone de résistance à 765,00, marquant les sommets de cette année. La première tentative de franchissement a échoué, mais la matière première se négocie dans un triangle ascendant, considéré comme une figure de continuation. Les fondamentaux étant favorables, une cassure au-dessus de 765,00 ne peut être exclue. Dans un tel scénario, le prochain support à surveiller se situe au niveau du retracement extérieur de 127,2 % de la baisse du deuxième trimestre (812,50). Source : xStation5
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