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Les négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine se poursuivent à Londres. Trump a confirmé que les négociations commerciales avec la Chine se poursuivaient à Londres et « se déroulaient bien », sans toutefois donner plus de détails. Le secrétaire au Commerce Lutnick a qualifié les discussions de « fructueuses », tout comme le secrétaire au Trésor Bessent. Les négociations reprendront mardi à 10 h, heure de Londres. L'absence de mauvaises nouvelles a soutenu l'optimisme des marchés.
- Le dollar américain s'apprécie face aux principales devises. Le dollar américain s'est apprécié sur l'ensemble des devises malgré le peu de nouvelles ou de données. La livre sterling, le dollar australien, le yen japonais, le dollar néo-zélandais, le franc suisse et le dollar canadien ont tous reculé. Les mouvements du marché ont reflété la résilience du dollar plutôt que des perspectives alternatives solides. Les actifs risqués ont également progressé, notamment les actions et le bitcoin.
- Les conditions commerciales en Australie ont atteint leur plus bas niveau depuis 4,5 ans. L'enquête menée en mai par la National Australia Bank a révélé que les conditions commerciales étaient les plus faibles depuis fin 2020. La confiance des entreprises n'a connu qu'une légère amélioration. Cette enquête peu encourageante confirme le ralentissement de la dynamique économique en Australie. L'AUD a chuté après la publication de ces résultats.
- Le Japonais Ueda met en garde contre une marge de manœuvre limitée pour une baisse des taux. Le gouverneur de la Banque du Japon, Ueda, a réaffirmé que la banque avait peu de marge de manœuvre pour baisser ses taux, car les taux d'intérêt réels restent négatifs et l'inflation est toujours inférieure à l'objectif. Il a déclaré que des hausses de taux étaient possibles dès que l'inflation approcherait 2 %. Les marchés ont interprété ce discours comme globalement accommodant. Le yen s'est affaibli, le USD/JPY s'orientant vers 145.
- Le ministre japonais des Finances appelle à l'achat d'obligations nationales. Le ministre des Finances Kato a appelé les investisseurs nationaux à acheter et à conserver des obligations d'État japonaises. Cet appel intervient dans un contexte de volatilité croissante des rendements à long terme et de faible demande lors des adjudications. Il reflète les inquiétudes concernant la demande d'obligations d'État japonaises dans un contexte de changements potentiels de politique monétaire. Le yen a continué de s'affaiblir en raison de l'incertitude politique.
- Les relations entre la Chine et l'UE au centre de la rencontre entre Macron et Han Zheng. Le vice-président chinois Han Zheng a rencontré le président français Emmanuel Macron. La Chine s'est déclarée prête à élargir sa coopération avec l'UE et à soutenir les petits États insulaires à travers des projets multilatéraux. Cette rencontre s'est déroulée en marge de la Conférence des Nations unies sur les océans. Elle témoigne de la poursuite de l'engagement diplomatique de la Chine envers l'Europe.
- Le bitcoin s'échange au-dessus de 110 000 dollars. Le bitcoin a dépassé les 110 000 dollars, poursuivant sa tendance haussière. Cette remontée s'est produite dans un contexte de vigueur générale du dollar américain et de hausse des actions. Il n'y a pas eu de catalyseur spécifique aux cryptomonnaies. Le sentiment semble soutenu par l'appétit pour le risque sur l'ensemble des marchés.
- Holzmann, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE : la pause dans les baisses de taux pourrait se prolonger. M. Holzmann, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE, a déclaré que la pause actuelle dans les baisses de taux pourrait se prolonger, en fonction des données à venir. Il a souligné que l'objectif d'inflation était déjà à portée de main. Il a également fait part de son optimisme prudent quant à l'orientation de la politique tarifaire de Trump. Ses remarques suggèrent que la BCE restera dépendante des données.
- Trump sur l'Iran : l'accord sur le nucléaire est encore loin. Trump a déclaré que l'Iran exigeait « des choses impossibles » dans les négociations sur le nucléaire. Il a averti que les alternatives à la diplomatie étaient « très, très graves ». Les pourparlers se poursuivent, mais sans progrès concret. La question reste un facteur de risque géopolitique.
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